Реферат: Kolomia

Les fouilles archéologiqueset les documents témoignent que Kolomia appartient aux villes anciennes de la Galicie. Elle fut mentionnée pour la première fois de 1241, mais selon des savants et des historiens la ville est sûrement plus vieille. Kolomia commença son histoire comme un bourg fortifié militaire, qui protégeait la ligne de défense au Sud-Ouest de la Russie ancienne. Selon les archéologues la forteresse existait déjz au milieu du XH-e siècle.

Presque toutes les vieilles cités russe cessè­rent leurs existances au milieu du XlII-e siècle, quand commencèrent les incursions dévatrices des mongolo-tatares.

Selon toute vraisemblance la forteresse de Kolomia fut incendiée en 1259, sur ordre du voïvode (chef de l'armée) mongolo-tatares Bouroundi. Le voïvode ordonna à Daniil de la Galicie d<^ ruiner toutes les fortifications.

Au milieu du XlV-e siècle les terres de la Galicie furent occupées par la Pologne et de ce temps-là les étrangers ne quittèrent pas ses rues. Les étrangers possédèrent la forteresse. C'éta­ient eux qui choisirent des couleurs pour les premières armoiries de la ville. Le droit de Mag-debourg fut accordé en 1405 en faveur des étran­gers.

Pour assurer la croissance de la ville au point de vue économique furent octroyés un nombre de privilèges importants; le droit de commerce et le droit d'usage sa propre balance. Le magistrat reçut une autorisation d'ouvrir plusieurs corps

de métiers et ateliers, ainsi que le droit de la perception des impôts des villages environnants dans les revenus municipaux. Les attaques des étrangers commencèrent à partir du début du XVI-e siûcle et furent surtout fréquents a par­tir de la première moitié du XVII-e siècle dont amenèrent de grandes ruines. La chronique po­lonaise de 1621 témoigne: "La ville fut incen­diée par les tatars et les gens exilés." Le docu­ment de 1624 annonce que la ville "fut réduite a néant".

Après une telle ruine, il fallait reconstruire Kolomia. Comme la ville n'était pas protégée contre les attaques des envahisseurs et contre l'inondation de la rivière Proute, la ville a été déménagée plus loin au Nord, oc se trouve le centre de la ville actuelle. Le nouveau châteu de Kolomia fut bâti sur une colline. Le château était entouré de profond fosse plein d'eau, l'en­trée de la ville protégée par des pont-levis.

Kolomia se trouvait sur la voie commerciale principale menant de la Pologne vers l'Alle­magne a travers Galitch en direction de Volocht-chine et Danube. Kolomia se. développa à la faveur du commerce transitaire, ainsi que la route passa à travers la ville z Kiev, en Hongrie et en Tchèque.

En 1772, après la première répaptition de la Pologne, F Autriche s' empara de la terre po-koutski avec Kolomia.

En ce temps-là, l'économie de la ville était mal développée à cause d' absence de 1' indu­strie extractive.

L' industrie meunière était 1' une des plus ré­pendues et des plus importantes pour 1' économie de la ville, ainsi que distillerie et poterie.

La construction en 1866 des voies ferrées ayant relié Lvov—Tchernovtsi et en 1876 Lvov— Bucarest accéléra un nouvel essor éco­nomique.

L' imprimerie portant le nom de M. Bilous fut fondée en 1860, dûs 1865 apparut le premier journal "Golos narodnii" ("La voie populaire"). La création à Kolomia en 1867 de la maison d' édition constitua un événement dans la vie cul­turelle de la ville. On cherchait longuement à obtenir 1' ouverture d' une gymnase (lycée) a Kolomia. En 1861 on y ouvrit une lycée; en

1876 — P école poterie, en 1892 — P école nor­male de formation des spécialistes de P industrie du bois et un nombre d' écoles primaires. En

1877 la Société "Prosvita" a été fondée, ainsi que "Kolomiiski Boïan" en 1895.

Au mois de novembre 1918 à Lvov a été pro­clamée la République Populaire d' Ukraine Quest.

La nuit du 1-er novembre le pouvoir fut repris par le Comité militaire.

Mais F Armée polonaise commença la guerre contre la jeune. République. La Calicie tomba sous le joug des occupants pour 20 ans.

Après 1939 dans la vie des Ukrainiens occi-dentauxs fut des changements sociaux radicaux. Et en même temps le totalitarisme stalinien était présent dans la vie: arestations, expropria­tions des biens, prohibition des sociétés cultu­relles-artistiques et économiques, des unions créatrices. Pendant F occupation fasciste la ville souffrait d' attaque permanent et fusillade, la population juive exterminée, le tiers de Kolo-mia incendiée. Le 29 mars 1944 la ville fut li­bérée par F Armée Soviétique.

La ville, se relevait des ruines et se retour­nait vers la vie. Aujourd' hui nous constatons non seulement la montée du développement du potentiel économique et culturel des années d' après-guerre, mais en même temps F influence négative du système de commande, adminini-stratif. Ce système bien influençait négative­ment le développement économique, quand mê­me Kolomia peu à peu changeait sa figure. Outre F industrie légère, alimentaire et du bois, les nouwe Iles branches de F industrie apparais­saient comme la constructions mécaniques, F industrie des métaux et de construction.

Mettant à profit tout son potentiel écono­mique Kolomia transforma les entreprises arti­sanales en fabriques et usines dotées d' équipe­ments modernes. Les machines de manutention de "Kolomiissilmach", les équipements pour les laboratoires d' école de la fabrique de F indu­strie du bois, les câbles de F usine de métaux sont bien connus a F étranger. Les possibilités des anciennes briqueteries augmentent constam­ment, elles sont modernisées et unies d' une fabrique des matériaux de construction. Les nouvaux bâtiments, des usines et des fabriques sont apparus dans la ville. La capacité des orga­nisations de transport et de construction aug­mente. La production de la fabrique des rideaux, des papiers et de la brosserie est bien connue en pays.

A F heure actuelle la ville et région compte 60 entreprises industrielles, de transport de construction, de commerce, où travaillent presque 50 million d' ouvriers et employés.

Dans un temps peu reculé, plus que 70 coopé­ratives et petites entreprises commencèrent leurs activités.

Dans la région de Kolomia il y a 23 kolkozes et 2 sovkhoze, un nombre d' entreprises indu­strielles agricoles parmi eux agrofirmes "Prout", "Karpate", "Tissa" sont bien connus.

En Kolomia il y a 10 établissements de cu­res, près de 40 stations d' aide-médecins où tra­vaillent plus de 470 médecins et 1120 spécialis­tes ayant une formation médicale secondaire.

Dans la ville la lycée humanitaire a ouvert de nouveau sa porte devant les étudiants. Kolomia compte 11 écoles secondaires d' enseignement général y compris écoles de huit ans, lycée tech­nique, 2 écoles professionelles et 3 établisse­ments d' enseignement secondaire spécialisé. Pour les plus petits il y a 20 établissements prés­colaires, école des arts, école de musique et 2 écoles de sport.

En 1990 le théâtre professionel — après 27 ans — se renouvelle son travail. La ville reçut la maison populaire (ancienne Caisse d' épar­gne) . Dans la ville se trouve le Musée des arts po­pulaires des Goutsoules, 7 bibliothèques, 3 ci­némas, on prépare la fondation du musée des Beaux-Arts, du musée des oeufs de Pâques et du musée d' histoire de Kolomia.

Le choeur de danse lauréat des concours internationaux "Pokutia" jouit d' une grande popularité, ainsi que le choeur des to travailleurs des établissements de cures et des personnels enseignants de F école pédagogique, le choeur "Boian".

Ces dernières années dans la ville apparurent des organisations publiques de masse. Premi-ûrement était fondé au mois de juillet 1988 la société "Postoup", ensuite au mois de mai 1989 "Narodni Roukh", au mois d' octobre 1989 la Société de la lanque ukrainienne portant le nom de Chevtchenko.



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